Les signes de ces maladies étaient connus bien avant que les agents responsables, invisibles au microscope optique, aient été identifiés. Les médicaments efficaces font toujours l’objet de recherches et c’est finalement à travers leur prévention par les vaccinations que le Service de santé colonial a pu agir, soit par sa participation à la mise au point et à la distribution du vaccin (fièvre jaune), soit par la mise en place de centres producteurs de vaccins (variole, rage), soit par l’utilisation de vaccins au fur et à mesure de leur invention (poliomyélite, rougeole).